Prédication du 3 décembre, "Tu seras bénie par la maternité"

Avec le Christ, l’enjeu n’est pas de savoir si la maternité est une bénédiction ou non. Il est se replacer et de replacer chacun.e devant Dieu, comme Marie de Nazareth face à l’ange Gabriel, ou Marie de Magdala face au tombeau vide. Mais aussi comme toutes les personnes qui ont un jour remis leur cœur et leur pensée dans les mains de Dieu et qui ont été mises en route par lui.D'après Deutéronome 30: 15 à 16 / Luc 1: 26 à 38 / 1 Timothée 2: 12 à 15




Prédication du 22 octobre,« Il n’y a plus l’homme et la femme, fake news ? »

Il y a quelque chose en Paul du rêveur utopique, du rêveur éveillé. Qui rêve du monde que sa foi, toute nouvelle, lui dicte de construire. Un monde au sein duquel, il est possible de se regarder les unes, les uns, les autres en transcendant nos différences. C’est-à-dire en renonçant à faire de nos différences des séparations excluantes. D'après Genèse 1 et Galates 3



Prédication du 1er octobre, "C'est oui ou c'est non?"

Dans ce récit de l'évangile, Jésus pointe du doigt l’obstination dans le refus. La dogmatisation de la pensée. Le refus d’accorder à un autre que soi la possibilité de façonner sa propre humanité.Il nous rappelle ainsi qu’il y a un temps pour s’ouvrir aux autres, pour changer de mentalité, se mettre en route grâce à Dieu.Ce temps n’est pas celui de la girouette mais celui de la conversion. D'après Matthieu 21: 28 à 32


Prédication du 17 septembre, "La tentation du veau d'or"

Il ne se laisse pas enfermer dans nos représentations.Il ne se lasse pas de nous surprendre.Jusqu’à dévoiler un chemin là où il n’y en a pas, pour paraphraser Martin Luther King. Jusqu’à susciter la vie au creux même de la mort. Vu sous cet angle, il faut être sot pour vouloir le contenir dans nos représentations. Il peut tellement plus… D'après Exode 20 et 32