Comme Jésus à son époque, il y a de quoi être ravagé quand on ouvre les yeux sur le monde. Trop de violences et d'injustice.
Dans l'évangile de Jean, ses derniers mots sont “Tout est achevé”. Pourtant, tout ne reste-t-il pas à faire?
J'aime alors me souvenir que Dieu n'a pas demandé à Jésus de changer le monde, mais de l'humaniser.
Aujourd'hui comme hier, c'est notre devoir. Il est à notre portée!